On y préférera une consommation de juin à décembre, à cause de ses saveurs de noix, de noisette et même d’amande.
Les arômes de fruits rouges et de cacao du Maury grenat rouge créent des affinités subtiles avec la Fourme d’Ambert persillée au goût de bleu sur une baguette.
Le Monbazillac, bien plus onctueux avec une pointe de vivacité, fait appel à un pain aux figues pour restituer finement les arôms du fromage en préservant une belle complexité en bouche.
Le fruité élégant et charmeur du Rasteau préfère un pain d’épeautre pour réveiller la rondeur de la Fourme d’Ambert.
A noter : la Fourme d’Ambert s’apprécie avec quelques pignons de pin lors de la dégustation.